« Sur Sangoyi, disque ensorceleur, le griot malien Samba Diabaté et le multi-instrumentiste suisse Vincent Zanetti orchestrent une ronde instrumentale aérienne et incroyablement mélodieuse, dans un florilège alerte de cordes (guitares, luth n’goni) et de percussions (calebasse, djembé, tama, dunum…), qui s’entrelacent à la croisée de la tradition mandingue, d’un swing lyrique et des musiques improvisées occidentales. »
Anne Berthod – Télérama.Sortir – 17.04.2015
« Un album d’utilité publique fortement conseillé… Il règne une ambiance magnifique sur cet album, une petite fenêtre hors du temps, universelle, bien utile par les temps qui courent. Kala Jula nous rappelle simplement que la musique est un vecteur d’unité qui soude des peuples pourtant bien différents. Car enfin, l’un vient du pays des banques où les secrets ne manquent pas, l’autre du continent le plus pauvre, le plus ouvert et le plus contrasté de la planète. Mais leur musique parle à tout le monde et cela avec des instruments traditionnels, loin des nouvelles technologies et des surproductions. Oui, Kala Jula force le respect… »
Christophe Augros – Musiculture.fr – 29 avril 2015
Samba Diabaté : guitare, jeli n’goni, basse
Vincent Zanetti : guitares, djembé, zena, percussions
Avec la participation de Sidikiba Coulibaly (voix, simbi), Yannick Barman (trompette) et Madou Diabaté (jeli n’goni).
Production, enregistrement et direction artistique : Vincent Zanetti
Buda Musique 860267
REVIEWS
Sur Sangoyi, disque ensorceleur, le griot malien Samba Diabaté et le multi-instrumentiste suisse Vincent Zanetti orchestrent une ronde instrumentale aérienne et incroyablement mélodieuse, dans un florilège alerte de cordes (guitares, luth n'goni) et de percussions (calebasse, djembé, tama, dunum…), qui s’entrelacent à la croisée de la tradition mandingue, d’un swing lyrique et des musiques improvisées occidentales.
Anne Berthod - Télérama.Sortir - 17.04.2015... Il règne une ambiance magnifique sur cet album, une petite fenêtre hors du temps, universelle, bien utile par les temps qui courent. Kala Jula nous rappelle simplement que la musique est un vecteur d’unité qui soude des peuples pourtant bien différents. Car enfin, l’un vient du pays des banques où les secrets ne manquent pas, l’autre du continent le plus pauvre, le plus ouvert et le plus contrasté de la planète. Mais leur musique parle à tout le monde et cela avec des instruments traditionnels, loin des nouvelles technologies et des surproductions. Oui, Kala Jula force le respect...
Vic SmitChristophe Augros - Musiculture.fr - 29 avril 2015